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Karkwa voit le jour en 1998 et participe l’année
suivante à la finale québécoise de Cégep
en spectacle. Sa prestation, remarquée par les membres de l’Office
Franco-Québécois pour la jeunesse, lui vaut la chance de
représenter le Québec lors d’une tournée estivale
en France en 1999 dans le cadre du Printemps du Québec. De retour
au pays, Karkwa doit affronter la Parenthèse, cette boîte
tentaculaire qui, depuis des siècles, a eu raison de plusieurs
rêves et projets.
En 2001, le groupe se rend en finale de la 7e édition des Francouvertes,
puis enchaîne les spectacles peaufinant ses compositions et préparant
l’enregistrement d’un premier album « Le pensionnat
des établis ». Lancé en octobre 2003, l’ensemble
des critiques au sujet de l’album furent élogieuses et
sans bémol. En plus d’atteindre à deux reprises
la première place du Palmarès des radios universitaires,
le succès d’estime que connaît le groupe se confirma
quand deux chroniques différentes du Journal Voir portèrent « Le
pensionnat des établis » au rang des cinq meilleurs
albums de l’année 2003. Suite à la sortie de l’album
le groupe prend la route pour une série de 75 concerts qui le
mènera aux quatre coins du Québec. Le groupe a suscité suffisamment
d’intérêt pour faire partie de la programmation
d’événements d’envergure tels Les francofolies
de Montréal, le Festival de musiques émergentes et les
Coups de cœur francophones de Montréal et Québec.
Après une année et demie de tournée, le groupe
prend une pause pour enregistrer son deuxième album « Les
tremblements s’immobilisent » sous l’étiquette
Audiogram. Pour coiffer ce joli parcours, Karkwa remporte en juin 2006,
le prix Félix-Leclerc de la chanson à la clôture
des FrancoFolies de Montréal.
Louis-Jean Cormier (voix et guitare), Stéphane Bergeron (batterie),
François Lafontaine (claviers), Martin Lamontagne (basse électrique)
et Julien Sagot (percussions et voix) forment le groupe Karkwa
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