THE LIVING BLUE /// pop-rock /// Champaign (U.S.A) | |||||||
PHOTO HD #02 | DOSSIER DE PRESSE |
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La collaboration entre les compositeurs-guitaristes
du groupe The Living Blue, Stephen Ucherek et Prokop a commencé en
1988 dans une petite ville proche de Odell dans l’Illinois. Ucherek était
encore au lycée lorsqu’ils ont commencé à écrire
des chansons ensemble, partageant un amour mutuel pour le garage rock.
Ils forment alors les Bloody Knuckles et s’inspirent de la musique
des groupes revival garage : les Makers, les oblivians, les Quadrajets
et les Cramps.
Rapidement, les Bloody Knuckles déménagent dans une
ville bien plus cosmopolite : Champaign, dans l’Illinois. Au
sein de la scène emo-heavy, leur son dérange. « Les
gens ne nous aimaient pas parce que nous étions sauvages et
bruyants et qu’on se foutait pas mal du monde » dit Ucherek.
On n’a jamais cherché la bagarre, mais on nous a beaucoup
cherché en ce temps-là., juste à cause de notre
dégaine ».
Le groupe, rejoint ensuite par le batteur Mark Schroder et le bassiste Pat Olsen, décide de changer de nom et opte pour les Blackout. En 2002, ils enregistrent leur premier album, « Everyday is a Sunday evening », en quelques semaines avec leur propre argent et Matt Talbot des Hum aux manettes. « Il s’agissait plutôt d’un coup d’essai » affirme aujourd’hui Ucherek. « C’était pas mal mais Joe et moi savions que nous pouvions faire beaucoup mieux ». Cette opportunité arrive en 2004, quand ils enregistrent « Living in Blue » avec le producteur star de la pop Adam Schmitt dans son studio à Champaign. « Adam savait exactement ce qu’on voulait » affirme Ucherek. L’album révèle alors un univers musical riche et audacieux, dévoilant le fort potentiel artistique et créatif du groupe. « On était très confiants dans cet album. Je savais que s’il sortait, il allait faire tourner quelques têtes ». Le groupe ne cesse alors de tourner, partageant la scène avec des groupes comme les Strokes ou les New York Dolls et enregistre même un live mémorable pour MTV2. Le groupe rencontre ensuite le label Minty Fresh de Chicago : « Jim Powers (propriétaire de Minty) est venu à Champaign plusieurs fois et a écouté attentivement nos nouvelles chansons ». Au moment de signer leur contrat, le groupe connaît deux changements majeurs : Ils décident d’abord de changer de nom, car de nombreux groupes (anciens ou récents) utilisaient déjà le terme « blackout ». Ils choisissent alors une réplique d’un titre de leur chanson et deviennent The Living blue. Arrive ensuite un nouveau bassiste, Andrew Davidson. « Un ouvrier de 23 ans, habitant Champaign et jouant de la basse comme John Entwistle ». Porté par un concert triomphant à la conférence SXSW en 2005, le groupe s’envole pour Chicago pour enregistrer des titres pour Minty fresh aux Studios Gravity, une fois encore avec le producteur Adam Schmitt aux commandes. Prokop explique : « On a tout enregistré en cinq jours ; ça a été dur. Mais c’était mieux comme ça car « Fire, Blood, Water » est plus brut que nos autres disques ». Armés d’un nouveau label, d’un nouveau nom, d’une solide formation et surtout de leur fierté, de leur joie, de leur sang et de leurs tripes avec « Fire, Blood, Water », The Living Blue est fin prêt à tourner à la fin de l’année 2005 et tout au long de l’année 2006. « Je suis content de ce disque. Il nous ressemble vraiment ». affirme Ucherek. « Et j’adore le jouer sur scène ».
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